La journée internationale du droit des femmes tire ses racines des manifestations de groupes de femmes au début du 20ème siècle, réclamant de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
Il a fallu attendre 1975 pour voir ces combats reconnus par l’ONU, qui déclarait cette année comme étant “l’Année internationale de la femme”, qui célèbrera ensuite le 8 mars comme la journée internationale du droit des femmes.
Le 8 mars est une journée de rassemblements, de réflexion et de dressage du bilan de la situation des femmes. Plusieurs groupes s’organisent pour préparer des évènements dans le monde afin de célébrer les victoires et acquis, faire entendre leurs revendications et améliorer la situation des femmes à travers le monde.
Chaque année, les Nations Unies définissent une thématique différente. Cette année, la journée internationale du droit des femmes se place sous le thème de “l’égalité d’aujourd’hui pour un avenir durable”.
La durabilité aura donc aussi sa place cette année. Ou plutôt, cette année sera l’occasion de parler des conséquences du dérèglement climatique sur les populations féminines, mais aussi de leur résilience afin de lutter contre cette menace planétaire.
Ce thème a pour but de souligner l’importance des femmes et des filles dans la lutte contre le dérèglement climatique, mais aussi une exposition aux risques plus importants.
Étant plus touchées par la pauvreté et par le manque de ressources que les hommes, les populations féminines du monde entier se trouvent en première ligne face aux dangers qui résultent du dérèglement climatique. Dans un même temps, elles sont leaders et responsables du changement en participant à l’adaptation au dérèglement climatique et son atténuation.
Il est primordial, pour nous assurer un développement durable, de garantir une plus grande égalité des sexes, sans laquelle un avenir durable et égal resterait utopique.
Ce thème s’inscrit dans la lignée du thème prioritaire de la Commission de la Condition de la Femme (CSW) de cette année : “Réaliser l’égalité des sexes et l’autonomisation de toutes dans le contexte du changement climatique […]”.
La CSW est un organe créé par le Conseil Économique et Social des Nations Unies en 1946. Il se réunit tous les ans pendant deux semaines afin de faire le bilan de la situation des femmes dans le monde et de prendre des mesures visant à améliorer leurs conditions et assurer un peu plus l’égalité des sexes.
Après la récente publication du dernier rapport du GIEC, on comprend l’importance d’assurer une justice sociale et de réduire les inégalités en vue de lutter efficacement contre le dérèglement climatique.
La sensibilisation de chacun est primordiale pour instaurer l’égalité entre les hommes et les femmes. C’est pourquoi nous devons chacun prendre parti et agir à notre échelle pour arriver à réduire ces inégalités.
C’est ce qu’on tente aussi de faire, chez EthicDrinks.
Dans le monde du vin, historiquement masculin, de nouvelles initiatives permettent de faire progresser les mentalités. Nous faisons confiance à des vigneronnes engagées à travers toute la France pour vous proposer des vins toujours plus respectueux de l’environnement.
À Monthou-Sur-Cher, nous avons élaboré notre Sauvignon Blanc et notre Côt Malbec A.O.C Touraine avec Mathilde, qui cultive ses vignes selon les principes de l’agriculture biologique.
Dans la région Bordelaise, au Château de l’Hospital, Clémence et Julien travaillent aussi en Bio dans le respect du terroir et de la vigne. Avec eux, nous avons conçu un vin rouge sans sulfites A.O.C Graves.
Laissez-vous tenter par notre Graves sans sulfites ajoutés
Vous proposer des vins plus respectueux de l’environnement de productrices et producteurs fait partie de notre mission.
Retrouvez notre sélection de vins sur notre boutique en ligne !